On a du mal à comprendre que la finance veuille créer des guerres et des génocides. Même Jaurès s’est trompé à ce sujet. Voici l’œuvre de Pouchkine qui permet de comprendre cela.
Le traité de budget europén a été décidé par Sarkozy et Merkel. Merkel agit chaque jour pour poursuivre la décroissance de l’Europe.
On entend dire beaucoup de chose sur le libéralisme économique. Le néo-libéralisme et le libéralisme économique consistent simplement à enrichir les plus riches, au frais du peuple. Le néo libéralisme consiste simplement à prendre le peuple pour plus bête qu’il n’est, avec le fascisme.
Le Sinn Féin était un parti minoritaire en Irlande. Il proposait simplement que le peuple irlandais soit maître de son économie. Au lieu de s’orienter vers le fascisme, le peuple irlandais s’est laissé convaincre par des militants comprenant l’essence de la crise. Le parti similaire au Sinn Féin en France est le parti Solidarité et Progrès.
La crise que nous traversons est pire que la crise de 1929, car se pose maintenant des questions environnementales. Ceux qui nous conduisent dans le mur doivent être démis de leurs fonctions.
La crise est une volonté d’une poignée de dirigeants. La droite les favorisent. C’est son rôle. Souvent durant les différents gouvernements qui se sont succédés ils ont pu en cachette endoctriner le peuple et la gauche à sans grande surprise sous Mitterrand, avec Attali, Strauss Kahn, Fabius, Delors, qui lui s’est rétracté.
La droite a toujours voulu favoriser les plus forts. C’est son leitmotiv. Seulement elle a toujours dit le contraire au peuple pour pouvoir faire cela. On a l’exemple en 2007 du président du pouvoir d’achat parlant du zéro chômage pour pouvoir s’installer au pouvoir ou celui de Chirac et de la fracture sociale. Notre président cuvée 2007 savait qu’il y avait une crise qui se préparait. Ses conseillers ne pouvaient pas ne pas être au courant. Les Etats-Unis le modèle de notre président commençaient leur crise.
On parle en ce moment de la crise des subprimes. On oublie par ailleurs d’en dire que le problème ne venait pas réellement de ceux à qui les banques ont prêtés puisqu’ils pouvaient payer au début. Le problème est en fait venu des banques qui ont augmenté leurs taux. Il s’agit donc d’une crise du système puisque les banques auraient pu ne pas augmenter leurs taux de prêts.
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