Analyses sur la société française
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Nous ne sommes pas des animaux
Article mis en ligne le 21 août 2013

par Matthieu Giroux

Depuis la mise en place du divertissement, l’épanouissement personnel est combattu par la finance. Petit à petit, le travail devient animal. La créativité n’est plus au centre de l’éducation nationale et on voit beaucoup d’élèves dire que l’éducation permet de trouver un travail afin de consommer. La pensée d’Adam Smith impliquant que nous vivons pour nous divertir est, depuis la privatisation de la monnaie, la règle de base de tout salarié assouvi. Cette culture du divertissement nous place dans une situation de retour au Moyen-Âge, promu par la royauté anglaise. Vous pouvez regarder le film "Agora" pour comprendre la logique du divertissement.

Seulement ceux qui ont combattu Adam Smith ont permis de créer un dollar égalitaire, le Glass-Steagall de 1933, la liquidation de la spéculation, jusqu’à la suppression de la réserve-or aux États-Unis dans les années 1960. L’économie monétaire de Smith est enseignée actuellement dans les écoles d’économie sans que les élèves ne connaissent le crédit productif public de Roosevelt. Roosevelt a alors voulu créer la paix par le co-développement et une monnaie égalitaire en réserve-or.

En 2013, le Glass-Steagall est engagé aux États-Unis par le mouvement de Lyndon Larouche. Il est donc possible de détruire la spéculation. 4 états des États-Unis ont adopté ce Glass-Steagall. Il y a d’âpres discussions dans le Delaware, un paradis fiscal. Le sénat va procéder à un vote non voulu par Barack Obama, voulu par des députés démocrates ou républicains.

Messieurs Glass et Steagall

Le co-développement est la clé de la paix selon Mazarin. Les élus disent qu’il n’y a pas d’argent pour le peuple. Mais lorsque vous dites qu’il est plus intéressant de développer votre pays et que vous impliquez vos élus, venant en général du peuple, vous devez vous engager alors pour liquider la spéculation allant vers le court terme, alors que le développement c’est le long terme.

Militer avec le peuple vous engage alors à évoluer, vous épanouir. Il ne sert à rien de voir des complots partout ou nulle part. La population veut avant tout comprendre ce qui se passe et se méfie de toute manipulation. C’est pour cette raison qu’elle a du mal à croire ce qu’elle pense sur la politique.

La clé du développement et donc la sortie du chaos du libre-échange qui n’est autre que la suppression des barrières douanières, engendrant un désordre immoral avec les mafias de la drogue devenant alors les créanciers des banques, insistant ensuite pour légaliser les drogues. Pour sortir du chaos il faut liquider la spéculation comme l’a demandé Roosevelt, ce qui a engagé Monsieur Glass et avant tout Monsieur Steagall. Ils ont permis une séparation totale des dépôts de la partie financière.

Les banques financières spéculatives sont alors liquidées. L’argent correspondant est alors détruit. Par contre les comptes de dépôts souvent vertueux sont gardés. Mieux on récrée de l’argent donc du crédit pour la production. L’inflation est détruite malgré tout puisqu’il y a énormément de spéculation. En effet l’inflation et donc l’usure n’existent pas dans un système économique vertueux.

L’initiateur du crédit productif public, faisant que l’argent devienne un moyen au service de la production et de l’humain est Friederich List. Durant toute sa vie il a combattu l’économie monétaire et sa centralisation anti-démocratique. Le crédit productif fait que l’argent devient un moyen, pas un but selon l’économie monétaire. Ce moyen donc ce crédit engage des travaux productifs pour la population. La monnaie a une valeur productive parce que la banque qui crée l’argent appartient à l’état. C’est une banque nationale publique appartenant à l’état-nation voulu par Mazarin, au peuple donc.

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